Page en construction

Merci à tous les bénévoles de contribuer à la construction de cette page en donnant votre avis sur les livres pour enfants :

  • livres à ajouter
  • livres à retirer de cette liste

Merci

Dans la même ligne éditoriale que Le Tiroir Coincé et Notre meilleur copain, ce titre est destiné à expliquer aux enfants dyspraxiques la nature de leur trouble. Ecrit et illustré sous forme de récit initiatique par un père d’enfant dyspraxique, il relate le quotidien d’Alexis dont la dyspraxie n’a pas été diagnostiquée et qui souffre de se sentir différent des autres, car tellement maladroit… Qui y a-t-il de plus magique qu’une histoire illustrée pour expliquer à un enfant sa dyspraxie ? Il peut alors s’approprier sa particularité et commencer ce long chemin de « l’acceptation », où se mettent en place les adaptations permettant de contourner les diffi cultés. Le jeune héros franchit ainsi un à un les différents obstacles qui l’empêchent de s’insérer pleinement dans la vie de la classe. Lu par les parents, la grande soeur ou l’enseignant à toute la classe Le Secret d’Alexis est aussi un outil pour faire comprendre la dyspraxie à l’entourage de l’enfant.

A propos des auteurs :
Emmanuel Séguier, graphiste et père d’un enfant dyspraxique, est l’auteur et l’illustrateur de ce livre. Il est cofondateur de l’Association DFD.
Le Dr Alain Pouhet est médecin de rééducation, il s’intéresse aux troubles spécifiques des apprentissages et est coordinateur de SESSAD «Dys».
Véronique Bancel, formatrice à l’ESPÉ de Lorraine, est maman d’un enfant dyspraxique et présidente de DFD Lorraine.

“Natacha est dyspraxique” fait partie de la collection “Les invincibles”, collection destinée aux enfants connaissant des troubles d’apprentissage.Natacha n’aime pas trop aller à l’école. Elle est dyspraxique et trouve que c’est difficile d’apprendre ou de faire du sport. Heureusement, il y a Melody une copine de classe qui vient d’Australie et Léa, une de ses meilleures amies avec qui elle s’amuse beaucoup.Les livres de la collection “Les invincibles” sont rédigés et structurés de façon à ce l’enfant qui les lit, ou à qui on lit ces histoires, s’identifie au personnage principal et intègre une vision positive de son quotidien malgré les difficultés qu’il ou elle rencontre. Ils sont tous écrits en opendyslexic, une police de caractère adaptée aux personnes connaissant des troubles “dys”.Ces livres ont été créés par Michèle Rader, auteur du site internet www.troublesdapprentissage.com et illustrés par sa fille de douze ans.A paraître: “Manon est surdouée”

Cette histoire de Max et Lili parle de la maladresse… Max fait tout de travers et ses copains ne veulent plus de lui pour construire la cabane. Il est tout triste jusqu’à ce que son grand cousin arrive. Un petit livre pour ne plus avoir peur de rater, pour retrouver plaisir et confiance en soi, en prenant son temps.

Éloi est un petit manchot très maladroit. À la maison et à l’école, il enchaîne les catastrophes, jusqu’au jour où il renverse la dernière bouteille de jus de poisson du village… Cette fois, c’en est trop, il décide de s’exiler là où rien de désastreux ne pourra arriver. Mais la banquise est pleine de dangers, surtout quand on est le roi des maladroits !

Agnès a encore du mal à s’habiller seule et à manger sans se salir. À l’école, rien ne va plus car non seulement elle a de la difficulté à écrire correctement et à réussir ses travaux, mais personne ne veut faire équipe avec elle. Tous la croient paresseuse et gauche, jusqu’au jour où elle reçoit un diagnostic de dyspraxie. Grâce à l’aide d’un professionnel, Agnès pourra enfin apprendre à développer des stratégies pour mieux faire face aux défis de la vie quotidienne. Une histoire qui permet d’expliquer le concept de la dyspraxie, sous forme de conte illustré.

Assis par terre au fond de la cour d’école, je regarde les autres enfants. J’aimerais jouer avec eux, mais ils ne veulent pas, car je ne suis pas très bon au ballon. En classe, je ne tiens pas correctement mon crayon et je salis mes cahiers à force d’effacer. Les cours d’arts plastiques sont un vrai cauchemar. Quand j’ai dit à mon enseignante que j’étais fatigué d’être dyspraxique, elle m’a répondu que j’étais d’abord et avant tout Loïk, un garçon sympathique et dynamique. Ça m’a fait plaisir d’entendre ça, car je trouve que la dyspraxie est un bien grand défi.

Avec beaucoup d’humour, ce livre évoque les difficultes au quotidien des enfants ayant des troubles de la coordination.